Je ne dors plus la nuit, le soir je pense à elle Je ne dors plus la nuit, le soir je ne vois qu’elle Je ne dors plus la nuit, mes rêves à tire-d’aile Je ne dors plus la nuit, le soir je suis près d’elle La sueur m’envahie, je suis perdu sans elle Textes sous copyrigth N° 00046302 La beauté serait donc éphémère ? Cela ne change rien La demoiselle est jeune ou bien elle est âgée ? Ses dentelles sont belle et son corps magnifique Pourquoi le cœur devrait être démissionnaire Textes sous copyrigth N° 00046302 Deux mots, sur une feuille, c’est ce que j’ai trouvé Deux mots,, deux simples mots, même pas une phrase Deux mots, et je regarde tomber la neige Deux mots, c’est tout !deux mots, il y en a des milliers Deux mots, qui à mon cœur resteront à jamais Textes sous copyrigth N° 00046302 Je recherche les mots Assis devant ma feuille je recherche les mots Point de rimes absurdes ni vaines ni serments Mais je te sais savante et que tu comprendras J’écoute cette voix et cerne cet accent La musique des mots s’infiltre en mes oreilles Je vais laisser mes rimes venir ensorceler Textes sous copyrigth N° 00046302 Comme le temps est long sans son souffle amoureux Mais elle va rentrer juste au creux de mes rêves Ses yeux se font rêveurs quand elle m’aperçoit Son regard me parcoure et recherche une trace Mais elle ne trouve rien, elle le sait déjà Comme le temps est court dans le lit ou tous deux Textes sous copyrigth N° 00046302 Le temps s’est écoulé doucement loin de toi Tes cheveux, leur douceur dans cette nuit qui tombe Et tes yeux me sourient, j’ai eu le mal de toi Ta bouche auréolée d’un maquillage doux Te dire que je t’aime serait un mot bien triste Ne tarde pas mon coeur et viens tout contre moi Textes sous copyrigth N° 00046302 Au nom de cette Dame qui m’a laissé rêver Au nom de cette dame qui me donne son coeur Et vous ma douce Dame qui vint sur le chemin, Que dire à son encontre si ce n’est que les dieux Au nom de cette Dame qui vint poser sur moi Au nom de cette dame qui fait battre mon coeur Textes sous copyrigth N° 00046302Daniel Douillet (Le Loup Ysangrin)
Je pense à elle
Elle s’en vient me voir au milieu de la nuit.
Mon cœur se perd encore et s’égare ma vie
Dès le petit matin, fuit comme une hirondelle.
Son sourire m’inquiète et je la vois ravie.
Comme un soleil brûlant sous le ciel de midi,
J’ai bu son élixir et son cœur m’ensorcelle.
S’envole c’est ainsi dans un doux paradis.
Mais elle me poursuit je n’ai plus de répit
Tant mon cœur et mon âme battent pour ma cruelle.
Et maintenant j’ai peur, j’ai peur de ma folie.
Car au petit matin lorsque la rosée luit
J’aurais encore rêvé, j’attendrais le réveil.
La nuit s’est envolée et le jour a jaillit.
Les rayons du soleil effacent cette nuit
Mais mon rêve demeure, je ne pense qu’à elle.Les sentiments n’ont pas d’âge
Quand vient le coup de foudre cela j’en suis certain.
Car l’amour n’a pas d’âge et Eros le sait bien
Quand il vient mélanger deux être en leurs destins.
Qu’ils soient jeunes où âgés lorsque nait la lumière
L’amour sur le visage laisse rose fleurir.
On ne peut éviter ce que le cœur inspire
Et parfois malgré tout le désir est sincère.
Peu m’importe ce que le cœur peut ressentir.
L’âge n’est qu’une excuse qui empêche d’agir
Et pourtant ô combien ont plu l’outrepasser.
Laisse des souvenirs qui se meuvent en sanglots.
Devant tant de beauté il n’y a plus de mots
Mais simplement deux cœurs qui riment en musique.
Puisque j’ai son amour, rien ne peut le changer.
Je ne veux point lutter la vie est saisonnière
Et dans son éphémère je ne veux que l’aimer.Deux mots
Deux petits mots d’amour par mes yeux attirés.
Deux mots, qui sont très beaux mais là, abandonnés
Deux mots, qui font très mal à mon cœur, embrumé.
Deux mots, qui ne sont rien qu’à mes yeux un naufrage.
Deux mots, qui me déchirent et me donnent la rage
Deux mots, qui me semblent s’échapper d’une cage.
Deux mots, je n’y crois pas, sans doute un mauvais rêve.
Deux mots, et mon bureau est en état de siège
Deux mots, et les sanglots filent comme un cortège.
Deux mots, sur un papier et même pas signé
Deux mots, je pars ! C’est tout ce que j’ai pu trouver
Deux mots, et cette gare où le train a sifflé.
Deux mots, d’un fol espoir qui aujourd’hui défait
Deux mots, et mon cœur plonge d’un avenir parfait
Deux mots, dans les méandres de la nuit qui parait.Daniel Douillet (Le Loup Ysangrin)
Pour t’écrire en silence et sans t’effaroucher
Je dois choisir la rime qui viendra aussitôt
Dans ton cœur tendrement, gentiment l’éclairer.
Justes ces quelques mots que tu liras ce soir.
Je sais que tu seras à mon grand désespoir
Enfermée dans tes rêves, prisonnière du temps.
Malgré l’éloignement ce que ton cœur attend.
Justes des mots emprunts qui viennent du présent
Et glissent en douceur au milieu de tes bras.
Si doux si agréable que j’aime simplement.
Le murmure du vent me semble puéril
Lorsque j’entends au loin ce délicieux babil.
Et ne me lasses pas de t’écouter chanter.
Que dire encore ce soir sur cet air adoré
Où l’amour est vainqueur et les rimes merveilles.
Un coeur doux et fébrile parfumé d’innocence.
Elle va me confier ses rêves d’insouciance
Que je vais déposer en rimes composées ;Comme le temps est long
Laisser glisser mes mains sur sa nuque, ses yeux.
Soudain la regarder avec cette envie folle
De la croquer d’amour comme une jolie pomme.
Avec cette douceur d’aurore qui se lève.
Je vais faire semblant de dormir cependant
Que mes crocs acérés la mordront tendrement.
Et même inquisiteur parfois se demandant
Qu’as-tu fais aujourd’hui me dit elle séant
Mais je t’ai attendu, n’ai attendu que toi.
Celui d’un rouge à lèvre, d’un obsédant parfum
Qui donnerait raison à son geste opportun
En délivrant soudain de son coeur cette angoisse.
Elle sait que je l’attends, mon rire la dégrise
Elle s’en vient alors et son parfum me grise
Comme une douce proie je la prends dans mes bras.
Nous avons fait l’amour jusqu’au petit matin
Elle va repartir, je sais, j’en suis certain
Pour me reconquérir, l’amour c’est merveilleux.J’ai cherché ton visage
J’ai cherché ton visage, regardé tes photos
Mon coeur était en nage tu m’as manqué si tôt
Mais là tu me reviens et je suis aux abois.
Me donnent chaque fois l’envi de caresser
Laisser glisser mes doigts et s’envoler léger
Pour encore et encore me perdre dans ton monde.
Longues étaient mes journées, j’étais sans foi ni loi
Mais là tu me reviens et tu me tends tes bras
Et je viens t’apporter l’amour que j’ai en moi.
M’incite à l’embrasser en tendres baisers fous
Je ne suis plus un loup je ne m’appartiens plus
Depuis que tu es là mon coeur est mis à nu.
Puisque dans cet amour il y a tous mes jours
Et j’ai envi de toi comme un premier amour
Même si tu en ris mais tu sais que j’existe.
Laisse-moi ta chaleur dans le creux de mes bras
Je ne fais que rêver j’ai tant besoin de toi
Tu sais que mon coeur vit dans l’ombre de tes pas.Au nom d’une Dame
J’apporterai mon âme sous les cieux étoilés.
Chercher au creux des limbes son ombre adorée
Et la laisser voler vers mon cœur éthéré.
J’entrouvrirai l’écrin pour déposer le sien
Le glisser lentement avec cette douceur
Que fit en ce temps-là un tendre palatin.
Insuffler un élan quand mes jours incertains,
Me laissaient entrevoir des jours sans lendemain
Avez sans me juger su me tendre la main.
M’ont entrouvert la porte menant au firmament.
La douceur d’un regard a su brûler mes yeux
Et depuis ce jour là, rien n’est plus comme avant.
Un refus très voilé devant l’obstination
Qui m’était de l’aimer sans aucune façon
Et qui ce soir enfin m’avoua ses émois.
Influencer mes mots et mes rimes troublantes.
Je dédis ce poème ainsi trempé dans l’encre
Pour exprimer enfin cet étrange bonheur.
Daniel Douillet (Le Loup Ysangrin)
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